Tes yeux

Tes yeux qui jettent des
Je vais te tordre le cou
Des nous ne verrons jamais la tête
D'un enfant de nous

Tes yeux qui jettent des
Je suis à bout
Dès je ne te supporte plus
Un point c'est tout

Et pourtant et pourtant
Tu es celle que j'ai choisie
Tu es l'enfer le mauvais temps
Mais je te suis je te suis

Et pourtant et pourtant
je resterai près de toi
A compter nos défaites
Jusqu'au bout de je ne sais quoi

Tes yeux qui jettent
Du froid des bouts d'igloo
Des ça va être ta fête
Petit salaud jusqu'au bout

Et pourtant et pourtant
Tout au fond de notre lit
Je m'accroche à ces mots si doux
Que tu me prêtes quand tu t'oublies

Et pourtant
Je te suivrai n'importe où
Tu es la femme de ma vie
Ce sera écrit sur mon trou

Tes yeux qui me promettent
Une vie la laisse autour du cou
Des si tu veux me suivre
Ce sera à genoux

Tes yeux qui me traitent
De bon à rien du tout
De fiotte de mauviette
De merde de bande mou

Tes yeux qui jettent
Des éclairs et des cailloux
Quand le petit matin me ramène
Tout sourire à moitié saoul

Tes yeux qui me jettent
Des tu ne vaux pas un clou
Et qui braquent des mitraillettes
Quand je rentre de tu ne sais où

Tes yeux qui me guettent
Qui me cherchent des poux
Tes yeux qui me mettent
Dans tous les mauvais coups

Tes yeux qui noircissent
Quand je fais de l'humour
Tes yeux qui m'aplatissent
Oh comme je t'aime mon amour

Tes yeux qui me jettent
Des je vais t'arracher un doigt
Des si tu pouvais jouer du piano
Quand je ne suis pas là

Tes yeux qui s'arrêtent
Tes cils qui ne battent pas
Ca y est tu es prête
Ca va cramer pour moi

Et puis y a mes amis
Qui ne sont pas les tiens du tout
Toues nos fêtes nos beuveries
Qui ne sont pas mais alors
Pas du tout à ton goût

Et pourtant et pourtant
Tu es si belle parfois
Quand ta bouche ne se tord pas
Pour me maudire à haute voix

Tus ojos

Tus ojos lanzando
Te torceré el cuello
Nunca veremos la cabeza
De un niño de nosotros

Tus ojos lanzando
Estoy exhausto
Tan pronto como no te soporto
Un punto es todo

Y sin embargo y sin embargo
Tú eres el que elegí
Eres el infierno el mal tiempo
Pero te sigo, te sigo

Y sin embargo y sin embargo
Me quedaré cerca de ti
Para contar nuestras derrotas
Hasta el final de no sé qué

Tus ojos lanzando
Desde el frío de las puntas de iglú
Va a ser tu fiesta
Pequeño bastardo... hasta el final

Y sin embargo y sin embargo
En la parte inferior de nuestra cama
Me aferré a estas palabras tan dulce
Que me tumbaste cuando te olvidaste de ti mismo

Y sin embargo
Te seguiré a cualquier parte
Eres la mujer de mi vida
Estará escrito en mi agujero

Tus ojos que me prometen
Una vida la deja alrededor de su cuello
Si quieres seguirme
Estará de rodillas

Tus ojos que me tratan
De bueno a nada en absoluto
De débil fiot
Chatarra de cinta blanda

Tus ojos lanzando
Rayo y guijarros
Cuando temprano en la mañana me trae de vuelta
Todos sonriendo medio borracho

Tus ojos me tiran
No mereces un clavo
Y robar ametralladoras
Cuando llegue a casa de ti no sabes dónde

Tus ojos que me están buscando
¿Quién está buscando piojos?
Tus ojos que me pusieron
En todos los malos movimientos

Tus ojos se oscurecen
Cuando hago humor
Tus ojos que me aplanan
Oh, cómo te amo, mi amor

Tus ojos me tiran
Te arrancaré un dedo
Si pudieras tocar el piano
Cuando no estoy aquí

Tus ojos se detienen
Tus pestañas que no golpean
Eso es todo. Estás listo
Va a arder para mí

Y luego están mis amigos
Que no son tuyos en absoluto
Todas nuestras vacaciones nuestra bebida
Que no son, pero entonces
No es para nada de su gusto

Y sin embargo y sin embargo
Te ves tan hermosa a veces
Cuando la boca no se tuerce
Para maldecirme en voz alta

Composição: Bruno Caliciuri